Hommage à Shûji Terayama

Deux films de Shûji Terayama présentés par Maxime Lachaud et Vincent Capes

Shūji Terayama est un des secrets les mieux gardés de l’underground japonais. Sorte de Fassbinder nippon, il va, entre 1967 et 1983, créer pas loin de 40 pièces de théâtre, 15 courts métrages et 7 longs métrages dans lesquels il s’insurge contre les conventions et l’autorité en général, milite pour les émancipations et la liberté des sexualités. Cette année, ça fait 40 ans qu’il nous a quitté. Il fallait célébrer cette œuvre méconnue, parcourue par un souffle de liberté qui la rend aujourd’hui plus jamais que nécessaire.

Dans le cadre du Festival Fifigrot 2023